Dans l'écho du silence
Les pingouins s'élancent
La glace se déchire comme un fer de lance
La Parole J’ai la beauté facile et c’est heureux. Je glisse sur les toits des vents Je glisse sur le toit des mers Je suis devenue sentimentale Je ne connais plus le conducteur Je ne bouge plus soie sur les glaces Je suis malade fleurs et cailloux J’aime le plus chinois aux nues J’aime la plus nue aux écarts d’oiseau Je suis vieille mais ici je suis belle Et l’ombre qui descend des fenêtres profondes Epargne chaque soir le coeur noir de mes yeux. Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1923
martes, 22 de diciembre de 2015
domingo, 6 de diciembre de 2015
Pour se donner un genre
Une femme, un homme
Deux yeux, un borgne
Une épée, un sabre
Vide engendré, plénitude âpre.
Naître homme
Celui qui pénètre et déraisonne
Être femme,
Être infâme ?
Deux yeux, un borgne
Une épée, un sabre
Vide engendré, plénitude âpre.
Naître homme
Celui qui pénètre et déraisonne
Être femme,
Être infâme ?
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