miércoles, 3 de mayo de 2017

La mort II

La mort fascine autant qu'elle effraie
Je l'ai côtoyée de très près, trop près
Et pourtant elle renvoie à la vie qui nous est si chère
Comme l'obscurité fait jaillir la lumière 
Comme le froid extrême s'assimile à la flamme
Comme la misère se nourrit de l'opulence que je condamne
Comme l'oiseau vole malgré la gravité 
Comme l'enfant tombe pour mieux se relever
Comme le doute nous assaille pour nous affranchir
Comme la liberté pèse sur nos chaînes du repentir
Comme le souffle frêle du mourant résonne dans nos têtes
Comme le silence d'or fait écho au vacarme et à la tempête
Comme le mirage assouvit la soif du désert
Comm  

La louve

Ecrivons sur la page Pendant que la mer dégage Si la mère enrage Elle effacera toutes les pages